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MY MIND TRAVELS FAR
03:04
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ABDUCTION THEME
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Nique la simulation c'est l' experience qui reste le meilleur professeur, malgré les manipulations qu' ils testent et leurs micro-processeurs. La mise en situation, une référence pour les connaisseurs, dans les tribulations des possédés en errance chez les possesseurs. Obsédés par les machinations immenses orchestrées par les oppresseurs. Trop d' télé trop d' finance trop d' sanctions trop d' laideur...Pas assez d'imagination pour apprendre à observer nos vraies peurs...Trop d' illusions cassées trop d' frustrations et trop d'aigreur...pas assez d' compassion pour comprendre et tolérer nos erreurs. Les connections par milliers tentent de faire oublier la solitude, une profession une vie quadrillée une famille et si peu d' sollicitude. Pris dans nos habitudes, l' manque de confiance crée d' la méfiance pour ceux qu' on pense d' une autre latitude. Des écrans haute-résolution servant à admirer la platitude, les pics de pollution rythment l' évolution avec exactitude. C' est l' ère d' l' image, l'importance des apparences influence les attitudes. Le décryptage du sens de c' qui envahit l' tube nous relance dans la lassitude. On s' dévisage en silence sur des caméras d' surveillance où les existences sous l' poids du manque de choix titubent, triés sur le volet, sans calculer tes rêves selon tes aptitudes.
Refrain:
Chaos technique...La technologie entre au service du dieu dollar.
Chaos technique...L' humanité crache à la gueule du monde un mollard.
Chaos technique...On saisit pas les sentiments avec un sonar.
Cesse ta fuite en avant et réessaye autrement...Connard.
On s' oublie on s'ignore, la survie pourrie s' vend à prix d' or. On nous brise on nous trie on nous prend on nous vise on nous nuit. La chance ne sourit qu' aux carnivores. Depuis la nuit des temps dans tout c' bruit la souffrance pousse un cri fort face au mépris et à l' insouciance des confréries d' porcs. On nous oublie on nous ignore on nous brise on nous trie on nous vise on nous nuit et les ordres qu' on nous crie nous lient aux pires sorts. On s' dit « Je t'aime! » dans des émissions aux titres peu révélateurs et aux thèmes racoleurs, tournés en dérision par des acteurs, pensant qu' le poids n' est pas l' même devant des millions d' téléspectateurs. Pris dans l' système des voyeurs d' la compromission et des délateurs. Un monde en scission que franchissent en un bond les riches grâce à des réacteurs, survolant en avion les champs d' la soumission de ceux qui défrichent selon des traditions d' misère et d' labeur. Les conditions diffèrent de l' est à l' ouest de Greenwich, du nord au sud de l'équateur. Une occasion en or pour les passeurs, un prix d' admission trop hardcore pour le clandé en mission chez les prédateurs... Destination Rome, Paris, Londres où New-York city. Désillusion, exploitation, prison, retour au Mali. En cas d' avarie un seul verdict « coupable » ou « guilty ». Expédition safari dans la jungle d' un Occident sali. La colonisation porte ses fruits aux portes de nos bastions si gris. Liberté égalité fraternité, c' est qu' des craris, aussi bidons qu' celles de la Zulu Nation: Peace love and unity, la modernisation n' concerne que ceux pour qui çà roule ici.
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BORDERLINER
04:49
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THE COLLAPSE
04:52
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GENTLE ROBBERY ANTHEM
03:45
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9. |
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Storm cloud system floating foundation for the new metropolis colossal structures passed overhead and cast shadows that were ominous/ beneath city streets leaked acid rain/ Borealis blasted disasters came/ the most savage tornadic wind tree limbs shattered like they were plastic-made psyche cyclone serenade sludge marinade hail gail force winds cut clean through barricades slave to advancement steel and concrete hover 3,000 feet bleak above the planet abandon the ravaged old habitat for new construction prolusion at full-blast airmass holding pattern causing eclipse split second day to night all life in it's grips snip the chord Mother Nature is pissed wondering where her savior is it's got to change but the same persists the need for gain becomes a game of aim and miss deteriorate at a rate instantaneous stake claims while contained within rain and mist resources drained sustained on zip we're well within the realms one endangerment so sit back silent watch the sky darken how can we stop it if it's already started.
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NIXES
06:15
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11. |
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THE MOLIQULE
My Two Week Vacation/ A Dark Oasis/ Complete with empty pools and palm trees that were deflated/ riddled with bear traps/ and buzzards circling with eyeballs in their beaks that could still react to light and stare back/ I compared camps with some unfortunate tourists/ now a source of sustenance/ some healthy scavenger portions/ torrid space seek makeshift shelter/ from solar panel surroundings/ counting down to breakdown and total swelter/ pelted by full on locust onslaught/ on top of a completely unplanned for sandstorm/ Matterhorn like torn garments/ amongst a far more than bargained for canvas for zen garden artisans/ parched and languid still with enough strength and patience to make a blazing cadence that holds weight in a failing matrix/ impaling pages with a too sharp for writing tool/ Moliqule and Parasite combine to form the human paradigm/ attempt to climb the largest sand dune with no advancement/ just the constant flowing of grit through my toes on the growing mammoth/ I'm far from a candid moment capturer/ I'm more of a calculated and patient perfect landscape surveyor/ on a wayward train of thought with a compulsive conductor/ whose wages make it difficult to leave the home of his mother/ not too mention the other factors to add to the equation/ pack your bags and lets vacation at the dark oasis.
LE SEPT
Vaisseau du désert, j'ai vogué sur les dunes, loin des eaux des geysers et des réseaux homologués par les thunes. Tracé éphémère esquissé dans l' sable, j' me suis déplacé avec mes frères et j' ai dérivé sur les terres les moins stables. J' ai glissé sur les courants, en deuil au soleil couchant, j' ai enterré sous les feuilles les dépouilles de mes mourants passant l' seuil du temps sans cercueil en creusant sur un rythme envoûtant. Les larmes coulant, ma vision s' brouille, sous l'oeil sévère d' mes paires qu' seuls ceux qui désespèrent écoutent, recueil de vers touchants couverts de rouille, dans des lieux précaires qui vont en s' assèchant jusqu' à la dernière goutte. Et puis j' ai repris ma route guidé par ces sphères qui baignent de lumière les champs d' la désolation, écumant les mers d' antan disparues par évaporation. Traversant c' t' univers brûlant sans dérogation, les yeux fixés sur la voûte céleste et ses planètes en rotation. Fuyant les égarements d' la surconsommation, j' me suis retrouvé salement enmuré dans mon isolation. J' ai enduré la faim, structuré par ma soif, essayant d' durer pour repousser la fin sans censurer aucun paragraphe.
J' ai juré d' passer les écueils qui sur mon karma planent et d' conjurer l' sort de cet Oeil qui cherche à égarer ma caravane. J' ai juré d' passer les écueils qui sur mon karma planent et d' conjurer l' sort de cet Oeil qui cherche à égarer ma caravane. J' ai juré d' passer les écueils qui sur mon karma planent et d' conjurer l' sort de cet Oeil qui cherche à égarer ma caravane, j' ai raturé des feuilles et des feuilles là où l' asphalte crame, la pureté m' a fracturé l'oeil autant qu' la dureté et ses anagrammes.
Refrain Le Sept: A perte de vue, l'étendue d'argent miroitait aux pieds des oratrices. Plus on s' déshydratait plus on s' éloignait d' nos passifs. Souvent les chants des minarets guidaient les autres artistes. Pour seul répit j' avais de sombres oasis.
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12. |
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Ok pour l’habitude, repasse en mode tête basse
Un bout de refus, mais léger, car fuir est à l’étude
J’ai vu l’horreur traverser, délivrer des messes
Piller sans vrai moteur et transperçer les fêtes
Redonne la rédemption, ne lésine pas sur la lumière
De l’attention, l’oeil partout, et repars renier tes pères
La vue de la cage est grande, pourtant toujours un angle mort
C’est bien de là que partiront les langues
Ok pour l’arrogance, ne redis pas les mots qui blessent
Aligne-toi sur l’espèce et l’évidence
On y pense parfois en aspirant le feu
Pour s’endormir ailleurs, elle et toi, puis les deux
Ok pour l’envie de rien, on en écoute tous les jours
Des mots sans vie qui pleurnichent devant leur cour
C’est peut-être pour demain, on l’a soufflé dans vos carcasses
Le chant des éclairs, pas des petits riens
Sentir l’amour que l’on accroche
Les proches et les démons
Ce qui bouge
Ces expéditions dans nos têtes
Regarder passer les nouvelles
Ce que l’on fait de mieux
Nourrir l’enjeu de mille facettes
Ok pour l’amplitude, on gagnera des voix
Ils n’entendront pas ce que je n’écrirais jamais plus
On n’y perdra que dalle sinon des cernes
Des bavardages frileux qu’leur poésie disserte
Ok pour le départ, attendons l’aube
Avant qu’le jour n’écarte ce que nos pires violences imposent
Que la nuit veille sur nos voyages et nos cartes
Avant qu’une autre image nous débarque
Ok pour le silence, sert-le moi fort
Qu’il reste un peu
Qu’il torde nos ivresses et nos rapports
Ramène de la détente, on pourra respirer
Sentir l’ailleurs nous effacer devant ses portes
On oubliera les mots, on oubliera la nuit
De transperçer toutes les poses et leurs avis
C’est peut-être pour demain, on l’a soufflé dans vos carcasses
Le chant des éclairs, pas des petits riens
Sentir l’amour que l’on accroche
Les proches et les démons
Ce qui bouge
Ces expéditions dans nos têtes
Regarder passer les nouvelles
Ce que l’on fait de mieux
Nourrir l’enjeu de mille facettes
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13. |
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14. |
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15. |
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16. |
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LE PARASITE Nantes, France
French beatmaker since 1997.
Worked with: * ARM / PSYKICK LYRIKAH * ASTRALWORX * BISCO SMITH AKA BISC1 * DJ
BANAL * DJ RIDE * DJ ONE UP * DOJO * EPIC BEARD MEN * GAJAH * G. BONSON * GREMS * GRIMACE * IRIS * J. KEUZ * LE SEPT * MICK * NOUVEL R * ONDE PARALLELE * SAGE FRANCIS * SONDLAM * TAR ONE * THE MOLIQULE * VAST AIRE * WAX TAILOR * WAX OMEGA
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